Voici une vidéo de 5 mn 30 secondes qui vous montre une solution simple pour gagner au jeu simple…
Suite à la publication de cette vidéo, j’ai reçu de nombreuses questions.
Voici quelques réponses :
Tout d’abord, et je le répète, cette vidéo n’est pas une formation complète à 500 €. C’est une technique simple qui permet de jouer d’une façon différente.
Et elle n’est, en aucun cas, un calcul figé.
Vous devez recalculer vous-même les éléments en fonction de vos préférences ou de vos habitudes (certains préfèrent le trot, certains jouent le jeudi parce qu’ils sont en repos, etc…)
Pourquoi ?
Ce qui est très important pour cette méthode est l’analyse du POURQUOI la cote du cheval monte.
Si la réponse est :
parce que le cheval est mauvais, il est évident qu’il ne faut pas le jouer.
Mais si elle est : parce qu’un autre cheval est très joué, là, il faut foncer.
Ce n’est pas parce qu’il est entre 111 et 125 qu’il faut le jouer bêtement.
Si vous vous concentrez sur un type de course, vous arriverez plus facilement à gérer ce point précis.
Ce n’est donc pas à moi à vous renseigner sur la meilleure spécialité, ou combien de fois vous devez jouer par jour… mais à vous de choisir vos options.
Un simple exemple et une petite astuce pour vous stimuler un peu :
La méthode prend pour base de calcul la rentabilité moyenne des 3 premiers favoris.
Le multiplicateur pour atteindre la rentabilité est le suivant : 100 / rendement moyen
Si le rendement est de 90 %, le résultat est donc : 100/ 90 = 1,11
C’est pourquoi le chiffre de la colonne de droite doit être supérieur à 111
Mais qu’en est-il si le rendement moyen est de 92 % ? 100/92 = 1,09 !
Là, le chiffre doit être à 109 seulement.
Si vous avez l’habitude de travailler sur une base de données en courses de trot, par exemple, vous devez savoir que le rendement des 3 premiers favoris est supérieur à 90% vous pouvez donc recalculer votre seuil de jeu.
Vous devez aussi savoir que le 4ème favori a une réussite intéressante….
Je le répète, encore une fois, toutes les informations que je vous transmets ici sont des éléments de calcul. Vous devez ré-flé-chir.
Comment sélectionne-t-on un cheval ?
On ne le sélectionne pas !
Imaginons que vous pariez sur 3000 courses au hasard, l’un des 3 premiers favoris.
Vous misez 1000 fois sur le premier, 1000 fois sur le second, et 1000 fois sur le troisième.
Mathématiquement, vous regagnerez 90 % de vos mises.
Cette technique ne consiste donc pas à sélectionner un cheval par un quelconque calcul de réussite, mais à améliorer sa rentabilité.
Par ce fait, il est absolument IMPOSSIBLE de calculer un quelconque résultat sur un jour, ni même une semaine, ni même sur un mois.
Je crois que c’était en 2009, au mois d’août, j’ai perdu 500 € sur le mois (je ne joue plus à Deauville depuis cette période).
Je les ai regagnés en septembre-octobre. Reperdus en novembre. Et j’ai tout de même terminé l’année en positif.
Encore une fois, ce n’est pas une technique pour les flambeurs.
Ce qui répond (au passage) à la question sur les filtres. Oui, certains filtres améliorent la rentabilité de cette approche.
Notamment en évitant les hippodromes à risque et les courses peu fiables.
Quel est le meilleur moment pour relever les cotes ?
Là aussi, il faut réfléchir un peu. L’objectif est de pouvoir comparer la cote que devrait avoir le cheval et la cote finale réelle.
Avec la méthode de cette vidéo, pour simplifier, je vous propose d’utiliser la cote de départ. Elle est calculée sur la base des jeux enregistrés par avance, dans les points de vente et sur internet. Elle reflète donc (un peu) la cotation des professionnels.
J’avais donc dit de prendre la cote le plus tôt possible.
Dans mon esprit, cela signifie : avant que les bruits de couloir commencent à courir et que tous les fins limiers se jettent sur le futur gagnant (oui, c’est une petite pointe d’humour).
Certains l’ont donc prise à 9 h du matin.
Mais si vous réfléchissez un peu, à 9 h du matin, il n’y a peut-être que 500 ou 1000 € d’enjeux.
Ces cotes à 9h du matin ne représentent donc absolument rien et vous trouverez de grosses différences par rapport aux cotes finales.
Je vais donc reformuler : il faut prendre les cotes de départ avant la ruée vers l’or, mais tout de même lorsqu’elles sont représentatives.
Ce qui m’incite à affiner mon explication sur un point précis :
Lorsque je dis : évitez les petits hippodromes, c’est parce que les premières cotes sont calculées sur 2 ou 300 euros d’enjeux.
Ensuite, quelques parieurs locaux risquent d’enflammer les cotes finales parce que « ça se passe chez eux« .
Lorsque je dis d’éviter les hippodromes à risque, c’est parce que tout bon parieur sait que des fantômes vivent à Deauville :-)
Idem pour le nombre de partants. Avec 4 partants, les cotes évoluent beaucoup plus qu’avec 20 partants, pour une même mise (simple mathématique de base).
Il faut donc, encore une fois, réfléchir un peu.
Vous pouvez parfaitement parier sur une course de seulement 8 partants à Vincennes, Auteuil, Longchamp…
Ce sont de gros hippodromes, avec des données stables, des chevaux stables, des jockeys stables (ou presque), de grosses masses d’enjeux.
Donc quand je dis : évitez les courses de moins de 10 ou 12 partants et les petits hippodromes, ce n’est pas un théorème scientifique.
Et n’allez pas mesurer la taille de l’hippodrome au décamètre ;-)
On m’a aussi demandé : peut-on parier en jeu simple gagnant ?
Cette méthode propose de jouer des chevaux qui ont une forte probabilité de gagner, mais dont la cote monte.
Le gagnant est généralement celui dont la cote baisse !!!
Peut-on utiliser une montante ?
Oui, il est possible d’utiliser une montante, mais c’est une autre histoire.
Oui, le module gagner contre les autres de la formation est plus efficace que cette technique.
Mes salutations, je suis nouveau, débutant. Ma préoccupation (sur les jeux simple et couple) comment trouver le rendement et où trouver les pourcentages de réussite de chaque cheval ? Merci Francis
Bonjour monsieur,
Dans votre vidéo vous sélectionnez le 1er cheval car il correspond à votre formule.
Mais le 3ème cheval de la sélection a un meilleur score que ce 1er cheval.
Cela veut il dire que si le numéro 1 convient on ne va pas plus loin ?
Ou bien que si il y a les 2 voire les 3 premiers chevaux qui correspondent on les joue aussi ?
Merci d’avance pour votre réponse.
Cordialement,
Bonjour Alain.
Le premier favori ayant la meilleure réussite est « normalement » privilégié pour faire face aux écarts.
Ceci dit, votre question est intéressante.
A partir de quel moment (plutôt quelles valeurs) faut-il privilégier un autre cheval ?
Evidemment, la réponse n’est pas simple.
Chaque type d’épreuve ayant ses propres résultats, il faut réfléchir et faire quelques calculs :-))
en première lecture arithmétique élémentaire, loi des nombres j’aime j’appliquerais cette méthode avec plaisir
Bonjour
système intéressant pour le trop je pense car en plat c est plutôt la loterie.
Cdlt